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| | Sujet: Tears to shed ft. Basile Ven 30 Juil - 6:56 | |
| Tears to shed feat Basile & Coraline Il était tard, tout le monde devait vraisemblablement dormir à l’agence, ou être rentré chez soi. Elle travaillait sur certains dossiers en retard, ou plutôt c’était une excuse pour lorgner vers le bureau d’Elkan. Elle résistait, tout en sachant parfaitement qu’elle allait céder, que ce n’était qu’une question de minutes. Elle finit en effet par quitter son fauteuil pour rejoindre celui du sorcier. Son téléphone à elle était ensorcelé pour que les potentiels clients puissent l’entendre et la comprendre à l’autre bout du fil. Si elle appelait sur tout autre combiné, l’interlocuteur n’entendrait que de vagues grésillements. C’était ce qu’il fallait. Elle n’aurait pas pu résister à pouvoir lui parler. Or il ne fallait surtout pas que sa voix soit reconnue. Malgré son envie de briser les règles à ce moment précis, elle ne pouvait franchir ce pas.
Ce n’était pas la première fois qu’elle le faisait. Elle se sentait presque comme une droguée ayant besoin de sa dose. Elle avait la même attitude lorsqu’elle se rendait secrètement à l’hôpital où Sam travaillait autrefois, espérant l’apercevoir, mais jusqu’à présent sans succès. Elle ne pouvait tout simplement pas s’en empêcher, tout en sachant que ça allait tôt ou tard devenir un problème. Elkan était si près de ses sous qu’il allait forcément se rendre compte à un moment ou un autre que des appels transatlantiques étaient passés depuis son téléphone et demander - littéralement - des comptes. Pour le moment elle n’avait réussi à trouver aucune explication convaincante pour se justifier.
Mais aucun argument ne parvenait jamais à la dissuader. Alors, elle attrapa le combiné et composa le numéro qu’elle connaissait par coeur. Elle avait conscience qu’il devait être tard à Bristol. D’ailleurs, il n’était pas rare qu’elle n’ait pas de réponse. Elle crut que ce serait également le cas cette fois, lorsqu’enfin après plusieurs sonnerie, quelqu’un décrocha. Une voix embrumée par le sommeil, une voix si familière se fit entendre. « Allo ? » Il n’en fallut pas plus pour que Coraline fonde en larmes. « Allo ? » répéta la voix, face au silence. « Maman ! Maman c’est moi… » Sa voix se brisa, sachant parfaitement qu’elle ne pourrait pas l’entendre. Elle aurait tant voulu lui parler, lui demander tout ce qui lui passait par la tête. Comment allait-elle ? Etait-elle triste ? Etait-elle heureuse ? Etait-elle seule ? Elle aurait donné n’importe quoi pour avoir les réponses à ces questions, et plus encore pour la voir et la serrer dans ses bras. Tant de choses qu’elle ne pourrait plus jamais faire. C’était plus douloureux encore qu’être morte.
« Allo ? Je ne vous entends pas, je vais raccrocher maintenant. » Son ton était un peu agacé, à raison sans doute. Bientôt Coraline entendit le bruit du combiné qu’on raccrochait et la sonnerie, interminable. Elle finit au bout d’une minute ou deux par reposer le téléphone à son tour pour couvrir son visage de ses mains et laisser ses larmes couler, dans la solitude de la nuit, de ce bureau. Personne ne saurait jamais et le lendemain la vie reprendrait son cours, comme si de rien n’était.
Du moins l’avait-elle cru, car elle entendit bientôt un bruit de pas qui la fit sursauter. D’un geste rapide, elle essuya ses joues comme elle le pouvait. Elle tenta de reprendre une voix moins tremblante, plus normale, tout en sachant que c’était peine perdue. « Qui est là ? » Réalisant qu’elle était toujours derrière le bureau d’Elkan elle se leva. Il était trop tard pour le quitter, mais elle pourrait prétendre avoir eu besoin d’un quelconque papier.
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| | | | Sujet: Re: Tears to shed ft. Basile Mar 10 Aoû - 14:20 | |
| Tears to shed feat Coraline & Basile Un appel du nécromancien, il y'a deux nuits, t'as contraint à quitter Crestwood. Une mission de la plus haute importance, à ne surtout pas ébruiter. Encore des secrets, des non-dits. Un manuscrit, ancien et dangereux, que tu devais à tout prix intercepter à l'autre bout du continent. Tu y'es allé, te demandant pourquoi il n'avait pas envoyé Roxane. Puis tu as compris, une fois au Mexique et le fameux livre entre les mains. L'aura de cet artefact est sombre, dangereux. Même un non initié pourrait en sentir la noirceur. Il est évident que la blonde aurait posé des questions, elle aurait fouiné, creusé, et peut-être même qu'elle aurait confié l'objet à Savannah pour de plus amples informations, et cela, malgré les protestations d'Elkan.
Des secrets, des cachoteries, des mensonges. Dernièrement, tu baignes dans un climat anxiogène, entouré de non-dits, de sentiments négatifs. Des blessures qu'on dissimule de sourires. Des craintes qu'on étouffe sous des boutades. Un jeu de dupe s'est instauré. Candace qui se noie sous le travail pour ne plus penser à la perte fracassante d'Anastasia. Roxane qui est bien plus secrète qu'à l'accoutumé. Elkan qui paraît d'humeur égal mais qui s'agite dans l'ombre. Et puis il y'a Coraline. La douce Coraline qui, comme tout les autres, cache ses fêlures. Tous, autant qu'ils sont, se perdent dans le gouffre de leur malheur, oubliant d'ouvrir les yeux sur les membres qui constituent leur famille. Et toi... t'es là. Impuissant.
Alors cette mission en solitaire, c'est triste à avouer, ça t'a soulagé. Tu les aimes, tous, sans aucune exception. Le soucis étant, qu'ils t'épuisent. Lorsqu'ils sont tous réuni dans une même pièce, ton don d'empathie te donne envie de mettre tes économies à l'abris, de brûler l'agence, et de te jeter sous les roues d'un bus. Vraiment. Lutter contre ces énergies négatifs, garder ton calme, tenter de trouver ta lumière intérieur dans ces abysses profonds... c'est éreintant. Alors oui, cette expédition de deux jours t'as plus ou moins aidé. L'extérieur n'est pas un long fleuve tranquille mais t'es moins impacté par la détresse ambiante. Tu parviens, toujours à quelque part, à trouver une étincelle de joie que tu ne parviens plus vraiment à trouver à l'agence. Tu les vois s'éteindre et tu ne peux rien faire pour eux. Ils refusent de s'ouvrir.
De retour en ville, tu ne perds pas un instant et tu prends le chemin qui te mène à l'agence. Oui, ils sont fatiguant, et oui, en ce moment tu te sens impuissant face à leur détresse mais tu les aimes. Ils sont ta famille, la seule que tu ai jamais eu et que tu souhaites avoir. Donc forcément, même si il est tard et que tu as peu de chance de croiser quelqu'un tu t'y rends machinalement. Avec malgré tout ce qui a été dit, la même sensation d'excitation que l'on ressent lorsqu'on rentre chez-soi après une longue période d'absence.
Arrivé à l'agence, tu penses dans un premier temps être seul, jusqu'à ce que tu entendes du bruit dans le bureau d'Elkan. Tes sourcils se froncent. Tu sais pertinemment que le nécromancien est à Sacremento pour récupérer la clé capable de déchiffrer le manuscrit que tu portes justement sous le bras. De manière automatique, tu essaies d'analyser les sentiments qui te parcourent et rien... Tu ne captes rien d'autres que tes propres émotions. Hésitant, tu poses le livre sur bureau de l'accueil et t'approches jusqu'à la source du bruit.
— Qui est là ?
La voix de Coraline perce les ténèbres. Forcément. La nature même de Coraline t'empêche de lire ses émotions. Tu aurais du t'en douter, mais la fatigue empêche tes neurones de s'activer correctement. Toutefois, les tremblements dans sa voix ne t'échappent pas. Avant de franchir la porte du bureau, tu frappes deux coups contre la porte ouverte, simplement par principe.
— C'est moi, Basile.
Tu passes d'abord une tête avant d'entrer totalement. Pas besoin d'être empathe pour comprendre la peine de la rouquine, n'est-ce pas? Un sourire bienveillant anime tes lèvres et tu t'approches de ce petit bout de femme. De ta veste, tu extirpes un mouchoir propre en tissus. Oui, c'est un truc de grand-père mais n'oublions pas que tu as déjà cent ans. Les années passent si vite.
— Il est vrai que la décoration d'Elkan laisse à désirer. Moi aussi j'ai souvent eu envie de pleurer devant son bureau "contemporain".
Avant de la questionner sur les raisons de son état, tu souhaites la mettre un peu à l'aise en tentant une touche d'humour. Tu ne sais pas si ça va fonctionner mais au moins, tu peux toujours essayer. Et si jamais tu te rates, tu sais où Roxane planque les chocolats qu'elle vole à Candace.
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| | | | Sujet: Re: Tears to shed ft. Basile Mer 1 Sep - 14:16 | |
| Tears to shed feat Basile & Coraline Durant un instant, elle espéra s’être trompée, ou alors que c’était l’un de ses bruits banals mais qui semblent si impressionnants la nuit. Mais ses espoirs s’avérèrent rapidement vains, lorsqu’elle entendit deux coups frappés à la porte qui la firent sursauter, suivis de la tête de Basile qui apparut dans l’encadrement. Coraline ne savait si elle devait être soulagée ou non. Elle avait craint, un instant, que ce soit Elkan qui la surprenne. Elle ignorait pourquoi mais elle se sentait absolument mortifiée à cette idée. Elle préférait se convaincre que c’était parce qu’il était son employeur, il n’avait pas à subir ses états d’âme. Et puis, elle avait tout de même passé un appel personnel à l’autre bout du monde.
La présence de Basile avait quelque chose d’apaisant, de rassurant. Elle aurait préféré ne voir personne du tout, mais il était peut-être l’option la moins pire. Au moins elle savait qu’il le garderait pour lui, si elle le lui demandait. Elle essaya de faire de son mieux pour garder une certaine contenance, essayer de porter un masque à peu près impassible, mais il n’était pas idiot, il avait bien dû voir qu’elle avait pleuré - quelle idiotie qu’un fantôme puisse avoir encore des larmes ! -. Il était après tout, l’expert des émotions humaines, bien qu’il ne puisse pas percevoir les siennes. Enfin, pas comme les autres en tout cas. Elle se demanda ce qu’il avait entendu exactement. Une part d’elle espérait que tout soit parvenu à ses oreilles, pour qu’elle n’ait pas à le raconter. Une autre se sentait pathétique et espérait garder la face, du moins autant que possible face à son ami.
Et pourtant, ce fut par une boutade qu’il s’adressa à elle, à laquelle elle ne put s’empêcher de rire, relâchant un peu de la pression qui pesait sur ses nerfs - métaphoriquement bien sûr -. Elle aurait pu le remercier indéfiniment, ou se jeter dans ses bras tant elle lui était reconnaissante de traiter le sujet avec légèreté, d’essayer de la faire rire au lieu de poser des questions trop indiscrètes qui l’auraient embarrassée. Elle jeta un coup d’oeil circulaire à la pièce. « C’est vrai que c’est assez… impersonnel. » Et elle disait ça pour être gentille, pour ne pas dire froid et presque sinistre. On se serait cru dans un catalogue Ikea, sans les jolies plantes et cadres pour rendre le tout un peu chaleureux. Elle n’était pas une experte en décoration bien sûr, mais elle brulait parfois de donner un coup de frais à cet endroit. Peut-être qu’elle pourrait profiter de l’absence du sorcier pour s’en occuper…
C’est alors qu’elle repensa au téléphone et fut de nouveau prise d’une envie de fondre en larmes. Elle cacha son visage dans ses mains, le temps de se reprendre puis effaça d’un geste rapide les larmes qui menaçaient de parcourir ses jours. Elle devait avoir une tête épouvantable. « Désolée ce… ce n’est rien. » Il fallait qu’elle trouve quelque chose pour changer de sujet, n’importe quoi. C’est alors que l’option la plus évidente lui vint à l’esprit. « D’ailleurs qu’est-ce que tu fais debout si tard ? Je pensais que tout le monde dormait. » Et c’était bien pour cette raison qu’elle avait passé ce coup de téléphone. A moins qu’elle l’ait réveillé ? Non, il était tout habillé, comme s’il venait de l’extérieur…
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| | | | Sujet: Re: Tears to shed ft. Basile Sam 4 Sep - 19:40 | |
| Tears to shed feat Coraline & Basile Les émotions humaines sont complexes, et c'est d'autant plus vrai lorsqu'on est mort ou immortel. Tu ne prétends pas comprendre ce qu'elle ressent, car ce serait présomptueux. Toutefois, tu peux imaginer sa douleur. Contrainte de couper les ponts avec les gens qu'elle a aimé, réaliser que ces mêmes personnes s'éteindront tandis qu'elle continuera à hanter les lieux, se demander si son errance prendra fin, se questionner sur ce qui va l'attendre après... autant de questions pouvant l'amener à pleurer toute seule dans le bureau le plus sinistre de l'agence. Sauf si sa peine est causée par Elkan. Alors là, tu seras bien incapable de l'aider ou de la rassurer. Ta tentative d'humour a fonctionné, l'espace d'un instant, tu as été capable de lui arracher un rire. Malheureusement, très vite ses émotions la rattrapent. Et pendant qu'elle se cache le visage, tu approches du bureau pour y poser tes fesses. Tu attends qu'elle se ressaisissent, sans jamais la presser. Tu te contentes de hocher la tête, lui signifiant qu'elle n'a pas à s'excuser.
Puis la vient la question qui te met dans l'inconfort. Tu ne veut pas mentir. Tu ne peux rien dire. Alors tu dois trouver un juste milieu. Une semi vérité vaut mieux qu'un mensonge. Tu te frottes le nez, à la recherche d'une réponse adéquate. Ton cerveau s'active une micro seconde.
— J'étais en vadrouille, je viens seulement de rentrer.
Ce qui est vrai. Toutefois, tu dois orienter la conversation si tu ne veux pas qu'elle creuse le sujet. Surtout qu'au final, cette question n'est là que pour détourner ton attention sur le vrai problème. Tu respectes cette décision. Si elle ne veut pas rentrer dans les détails, alors c'est son choix. Malheureusement, comment tu peux l'aider si elle refuse de s'ouvrir? Comment tu peux les aider, tous autant qu'ils sont, si ils décident tous de se refermer comme des huîtres? Ton sentiment d'impuissance grandit soudainement. Alors... tu commences à mettre les pieds dans le plat, bien que ça soit maladroit.
— Je ne compte pas te questionner sur ce que tu fais dans ce bureau, toutefois si jamais tu veux en parler, je suis là. Tout ce que tu me diras restera entre nous. C'est promis.
Même une pierre tombale est plus bavarde que toi, à ce niveau-là. Gardien des secrets, épaules sur laquelle pleurer. Tu es l'âme dévouée qui est toujours prête à consoler ses proches. Toujours prêt à porter le fardeau des autres. Après tout, tu as les épaules larges. Un sourire bienveillant orne tes lèvres. Tu aimerais tellement pouvoir lui offrir bien plus qu'un sourire.
— Et si jamais tu ne veux pas en parler, c'est pas grave. Roxane a piraté la série Lost Girl. D'après elle, y'a une actrice qui ressemble énormément à Savannah. T'en pense quoi qu'on vérifie ça par nous-même?
La blonde n'a de cesse de glorifier cette série. Elle te rabâche les oreilles avec ça, t'ordonnant presque de la regarder de toute urgence. C'est d'ailleurs pour ça qu'elle a enregistré les épisodes sur absolument tout les ordinateurs de l'agence. Si ça ne s'appelle pas du forcing... |
| | | | Sujet: Re: Tears to shed ft. Basile Lun 18 Oct - 14:13 | |
| Tears to shed feat Basile & Coraline Il lui semblait qu’un vide incommensurable s’ouvrait devant elle et les questions, plus douloureuses les unes que les autres, se bousculaient dans sa tête. Elle savait qu’il y avait bien peu de chances qu’elle revoit sa mère un jour, et cette pensée lui brisait le coeur. Sa condition de fantôme poserait d’autres problèmes également: qu’en serait-il de l’avenir ? Que se passerait-il si elle restait sur Terre pour toujours, voyant tour à tour les êtres auxquels elle s’était attachée vieillir et disparaitre peu à peu ? Elle ne voulait pas y penser, c’était bien trop douloureux.
Elle regarda Basile, gênée qu’il ait assisté à ce moment de faiblesse supposé rester intime, et en même temps rassurée. Car il était immortel, non ? Au moins, elle ne serait pas complètement seule. Au moins, il serait toujours là. Et elle se sentit un peu mieux.
Elle pouvait voir que le demi-démon réfléchissait à sa réponse et il se montra d’ailleurs extrêmement vague. C’était plutôt louche tout ça… Elle haussa les sourcils, mais ne dit rien, consciente qu’il ne parlerait pas s’il avait décidé de ne pas le faire. De toute façon sa tentative de diversion ne fit pas long feu puisqu’il revint au sujet principal. Elle baissa les yeux et soupira. Il était si doué pour faire parler les gens sans jamais poser la moindre question directe ! « Je… j’ai appelé ma mère. » Elle afficha un sourire désabusé. « C’est idiot je sais, ce n’est pas comme si elle pouvait m’entendre. Je ne sais pas vraiment pourquoi je fais ça… » Elle détourna le regard, cherchant ses mots tout en essayant de ne pas fondre en larmes devant lui.
« J’aimerais… j’aimerais avoir la certitude qu’elle va bien. C’est tellement dur de penser que je ne la reverrai jamais que… » Sa voix se brisa dans sa gorge et elle fut incapable de prononcer un mot de plus. Elle leva de nouveau les yeux vers Basile. « Tu ne diras rien, n’est-ce pas ? Y compris à Elkan ? » Il lui avait déjà dit que ça resterait entre eux et elle lui faisait confiance mais elle avait tout de même besoin de l’entendre une nouvelle fois. C’était sans doute inutile ceci dit, de toute façon le sorcier allait forcément s’en apercevoir à un moment ou un autre, lorsqu’il éplucherait la facture de téléphone. Mais ça lui laissait tout de même le temps de trouver une excuse crédible pour ces appels vers l’Angleterre.
Elle sourit face à sa proposition. « Pourquoi pas, je serais curieuse de voir ce fameux sosie. » Elle connaissait très peu Savannah mais ce serait une agréable distraction. Elle ne pouvait plus profiter du réconfort d’une boisson chaude ou d’une bonne glace au chocolat, mais au moins regarder la télévision lui était toujours possible. « Ca parle de quoi d’ailleurs cette série ? »
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| | | | Sujet: Re: Tears to shed ft. Basile | |
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