Identité

Prénom et Nom; Zorah SALIB
Âge; 2 Décembre 1984, 38 ans
Lieu de naissance; Irak, Badgad
Nationalité; Irakienne et récemment américaine

Statut civil; Célibataire homosexuelle refoulée.
Statut social; Moyenne.
Métier;  Agent de police

Groupe; Zeppo
Race; Humaine.
Pouvoirs; Aucun

Faceclaim et crédits; Golshifteh Farahani
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Questions

Comment as-tu appris l'existence du surnaturel ?
Zorah ne connaît rien avec le surnaturel. La seule chose qui pourrait être un tant soit peu surnaturelle serait l’existence de Dieu.

Quel est ton rapport, avec le surnaturel ?
Elle pense que cela n’existe pas. Seul Allah existe. Les autres événements surnaturels sont dû à des choses fabriquées par la conscience d’un ou de plusieurs tiers.   Elle plaint les illuminés qui disent avoir pu rencontrer des aliens.

Comment te décrirais-tu ?

Curieuse- Sociable- Indépendante- Hautaine- Cynique- Responsable- Indisciplinée-Observatrice- Stratège- Déraisonnable- Têtue

Zorah est une femme qui semble n’avoir peur de personne et qui paraît afficher un visage dur. L’adjointe de police n’est pas réputée comme étant l’un des officier les plus sympathique de son service. Par ailleurs, son partenaire, qu’elle évite soigneusement, est plutôt frustré de leur relation. En effet, celui-ci aimerait avoir un coéquipier plus qu’un collège lointain qui prend des décisions souvent seul. Ce sale caractère est décrié par ses collègues qui trouvent irresponsable de la part de la future quarantenaire de partir à l’aventure seule. Néanmoins, son coéquipier tente de la couvrir, souvent devant ses supérieurs qui sont pourtant loin d’être dupes. C’est l’une des raisons qui explique que Zorah n’est ni renvoyée, ni augmentée.
Pourtant, au début de sa carrière, la femme était plutôt sociable.

La brune est une femme très têtue et qui campe ses positions. Qu’importe si un collègue ; qu’elle peut admirer ; puisse lui dire d’être plus avenante avec un nouveau. Celle-ci n’en à que faire. Zorah est une femme qui n’aime ni s’émerveiller devant les bleus ni les dorloter. Elle préfère faire cavalier seul que d’avoir un seul pot de colle. Et pourtant, nombre de remontrances lui ont été faites. Mais elle n’en a que faire, elle préfère suivre ses propres directives.

On peut s’étonner que l’officier n’ait pas été remerciée. Certains l’expliquent par la discrimination positive, d’autres car ils perçoivent qu’elle serait peut-être l’une des plus honnêtes, d’autres affirment que c’est l’élément clé de la brigade. Ces mêmes personnes arguent qu’elle est une policière qui possède un bon sens de l’observation. Ils déclarent que la brune a pu percevoir certains éléments ou donner des théories intéressantes. Et tout cela simplement parce que l’officier a voulu avoir un regard nouveau sur une affaire ou a souhaité obtenir le plus de détails possibles. Par ailleurs, certains assurent que l’officier use de stratégies ; souvent astucieuses ; pour arriver à ses fins. Toutefois, ils sont tous unanimes quant au sale caractère de l’adjointe qui la nuit professionnellement. Ils désignent son attitude hautaine vis-à-vis de certains collègues qui n’en peuvent de ce comportement.

En établissant un tel portrait, bon nombre de personnes pourraient penser que cette femme est odieuse et qu’elle a peu d’amis. Zorah Salib est loin d’être une femme très aimée. Néanmoins, c’est une femme qui arrive à socialiser lorsqu’elle le souhaite. La quarantenaire est une femme qui aime aller vers les autres et qui peut se trouver avenante.
La musulmane est une personne qui reste attachée aux membres de sa famille et surtout à son frère. Elle n’hésite pas à prendre des nouvelles de temps en temps.

Anecdotes

Icônes La première femme qu'elle idolâtra fut la célèbre Marylin Monroe. Fan inconditionnelle durant son adolescence, cette icône fut pour elle une libération de la condition de la femme. Cette femme fut un exemple de la femme qui s'était émancipée. Par ailleurs, c’est le premier petit crush de la jeune femme.

You've got blond hair Zorah doit bien avouer qu'elle regarde plus facilement les blondes que les blonds. A chaque fois qu'une blonde se trouve dans les parages, elle ne peut s'empêcher de regarder ces cheveux qu'elle trouve sublime pendant quelques instants. Loin de d'elle l'idée de se les procurer pour son propre plaisir. Non. Mais elle trouve les blondes étincelantes, rayonnantes. Mais si en plus la blonde possède des yeux marrons clairs, la blonde risque d’être quelque peu chamboulée.

Pray your God Zorah est de confession musulmane. Elle croit toujours en Dieu et prie quand elle le peut, celui-ci. Elle n'a pas honte de sa confession ni de la pratique de celle-ci. Zohra garde le Coran dans son logement. Elle le relit parfois et y semble assez attachée. La musulmane tente de rester droite et dans les principes énoncés dans son livre.

Where are the women ? Le travail est dur pour tout le monde, mais notre trentenaire croit aux femmes. Selon elle, les femmes doivent travailler afin d'être indépendantes financièrement. Zorah est favorable à l'instruction des femmes dans les études supérieures. L'Irakienne pense que si les femmes pouvaient faire des études supérieures, celles-ci pourraient obtenir un travail bien plus rémunéré et satisfaisant. Et ainsi, éviter les problèmes financiers. Par ailleurs, elle affirme qu’avoir un enfant retarderait l’évolution des femmes. Selon elle, les femmes devraient ne pas avoir d’enfants avant un âge avancé. Son opinion n'est pas forcément du goût de tout le monde.

New Identity En allant sur le terrain, Zorah se dote de différents vêtements. L'Irakienne sait que l'apparence est l'une des premières étapes qui peut jouer pour se faire accepter ou recaler par des personnes. C'est pourquoi, elle peut en jouer. S'adapter aux différentes personnes à qui la journaliste doit s'adresser est une faculté qu'elle a appris sur le tas, surtout en Irak.
La brune aime particulièrement se donner un air intello en enfilant des grosses lunettes rondes avec un gros pull. Mais elle aime tout aussi bien avoir ses cheveux bouclés lâchés avec une veste en cuir. 

Curly Hair Zorah a des cheveux bouclés à l’origine. Elle préfère les garder ainsi. Toutefois, lors de certaines missions, elle doit se les lisser. Une partie de son budget part dans le soin de ses cheveux. Il faut ajouter que depuis quelque temps, quelques cheveux blancs ont fait leur apparition. 

Chicken La brune est une fan des ailes de poulets.

Pseudo; MJZorah ou MJ ou Zorah Age; 27 ans Pays; France Comment avez-vous connu le forum; PRD au départ Personnage Éphémère ? Non Pré-lien ? Non Double-Compte ? Non.  Un petit mot; Vive le rp !

Il faut toute la vie pour apprendre à vivre - Sénèque

Ma naissance était attendue. Mais loin d’être paradisiaque. En effet, ma mère attendait mon père qui se trouvait chez sa maîtresse. Pour tout vous avouer, je porte le prénom de cette femme. Ma mère a adoré cet hommage, il va sans dire. Pour éviter de m’appeler par le prénom de sa maîtresse, ma mère m’appelait par un surnom affectueux.


Il faut que je le précise. Je suis née pendant la guerre entre l’Iran et l’Irak. Bien que ma naissance soit un symbole de joie, les conditions dans lesquelles je suis née étaient assez catastrophiques. Nous n’étions pas dans notre maison, celle-ci avait été détruite, peu de rations étaient disponibles.


Mon père qui ne faisait pas grand-chose à part aller rendre visite à sa maîtresse, essayait d’obtenir des faveurs pour faire partir sa famille. Il n’avait pas réussi à faire passer l’un d’entre nous et il perdit deux membres de sa famille lors de cette guerre. Mes frères et soeurs durent arrêter leur scolarisation et apprendre par eux-mêmes. L’un de mes grands-frères avait décidé de me faire l’école à la maison. Etant le plus avancé, il souhaitait m'initier à l'écriture et à la lecture le plus tôt possible.


A la fin de la guerre, l’école avait été remise en place pour le plus grand bonheur de mon père. Néanmoins, le rythme était trop lent selon mon père. Il trouvait que ses enfants avaient du retard et qu'ils ne seraient pas une plus-value pour le pays. Il poursuivit son idée de nous faire partir d’ici. Par l’intermédiaire de sa maîtresse, il réussit à nous faire partir aux Etats-Unis mais sans lui. Je n’ai pas toutes les informations sur le marché passé entre mon père et sa maîtresse. D’après les dires de mon frère Youssef, sa maîtresse lui accordait les billets et un appartement aux Etats-Unis contre sa présence auprès d’elle.
Selon ma grand-mère paternelle, mon père ne voulait pas rester en Irak mais s’est senti obligé de le faire pour nous offrir une meilleure vie. Et selon ma mère, celui-ci a souhaité se débarrasser de nous une bonne fois pour toutes afin de pouvoir vivre son amour au grand jour. Je ne saurai jamais la vérité sur les véritables raisons de mon père. Il ne passa que très peu de temps au téléphone avec moi.

A notre arrivée aux Etats-Unis, je ne connaissais rien de cette langue. Ma mère le parlait peu. Mon grand-frère et ma sœur, qui étaient mineurs, le bredouillait. Mais le problème de la langue était loin d’être le plus important. Notre appartement avait été loué mais il fallait payer toutes les autres choses. Ma grand-mère, ma mère et mon grand-frère commencèrent à travailler. Notre père nous avait trouvé un abri de misère. Le travail qu’avaient commencé chacun d’entre eux relevaient certains inconvénients pour des étrangers.


C’est en voyant la pauvreté dans laquelle nous étions que je m’étais décidé à faire des efforts considérables pour pouvoir parler la langue mais aussi réussir à l’école. Je fus aidée par ma sœur dans ce voyage d’apprentissage multiple. Ce qui était étrange c'est que ma grand-mère se refusait d'apprendre cette langue. Le seul contact qu'elle recherchait était le contact de sa terre.


Ma scolarité se passa sans encombre jusqu’au 11 septembre 2001. Les attentats avaient affaibli les américains, terre qui m’avait accueillie et à qui je devais beaucoup. Les regards de ceux que je considérais comme des compatriotes, avaient changé. Certains amis s’étaient éloignés de moi, d’autres semblaient plus silencieux. Des élèves que je ne connaissais ni d’Eve ni d’Adam avaient pris la peine de m’adresser des horreurs.
Le pire fut la guerre d’Irak. Ma mère ainsi que certains de mes frères partirent dans notre pays maternel. Plusieurs années gâchées pour les américains et les irakiens. Et de nombreuses pertes, dont mes frères restés en Irak et partis se battre pour notre pays de naissance.

Aux Etats-Unis j’avais décidé de faire des études en droit. N‘ayant obtenu aucune bourse, je me suis rendue compte des difficultés persistantes. J'avais travaillé pour des petits boulots mais au risque de ma santé et de mon sommeil.. J'obtins ma première année. Au bout de la fin de la deuxième année, j’ai décidé d’arrêter le droit et de postuler pour un poste en tant que policière. J'étais loin d'être une mauvaise étudiante. Toutefois, je trouvais que c'était ardu d'étudier tout en travaillant pour sa propre survie.

L’acceptation fut compliquée dans la police. D’une part, les tests étaient plus ardus que je ne l’avais pensé. D’autre part, mon statut de femme irakienne ne plaisait pas à certains officiers. Toutefois, étudier en tant qu’officier de police m’intéressait énormément. Mes études en droit m’aidaient à comprendre et à aider d’autres personnes. Il faut sans dire que le droit et représenter la loi n’étaient pas que sources de joie. Des situations aberrantes se sont souvent présentées à moi.
Les années en tant que bleus furent plus ou moins joyeuses.
Mon tuteur était un homme dur, qui me chambrait souvent . C'était loin d'être idéal  mais j'ai beaucoup appris et j'ai compris ses intentions. Cet homme savait que certains postes de police étaient beaucoup moins accueillants que d'autres.
Mon tuteur avait été tellement performant que j'étais moins tolérante face aux erreurs de mes supérieurs. J'envoyais balader certains collègues qui faisaient des plaisanteries inappropriés. Dans certains cas, je leur rappelais leurs petites erreurs, aussi bien professionnelles que personnelles. Cela avait produit son petit effet. Il va sans dire que ces propos étaient moins répétés au fur et à mesure.
Mon travail se passait bien et j'appréciais une partie des officiers.
Après la guerre d'Irak, mon frère m'apprit la mort de notre mère.  Il me proposa de resserrer nos liens et de venir dans la ville de Sunnydale.

Une année après,  je déménageais à Sunnydale, notre sœur avait préféré rentrer en Irak. Celle-ci était très affligée par toutes ces pertes dans notre famille. C'est pourquoi elle avait rejoint des proches afin de pouvoir effectuer son deuil.
Quelques années passèrent et notre grand-mère donna son dernier souffle. Notre père ne prit même pas la peine de venir tandis que notre sœur vint se recueillir. Elle déménagea à quelques kilomètres de Sunnydale.

Un jour,  j'organisais un barbecue en été avec des collègues et quelques proches. Mon frère partit à la nuit tombée. Au bout d'une semaine, ma sœur me prévint que celui-ci n'était pas venu pour l'aider et qu'il ne répondait pas.
Nous nous rendîmes à son appartement et prîmes contact avec son employeur.  Il n'était pas venu travailler depuis quelques jours. Notre frère avait disparu. Nous avions fait porter un avis de recherche mais cela n'avait vraiment rien donné.

Nous sommes en 2022, et depuis deux ans nous n'avons aucune nouvelle de notre frère.  Je sens que cette affaire est louche et je soupçonne l'un de mes collègues d'être l'auteur de sa disparition.  Par ailleurs,  d'autres collègues paraissent être reliés à des affaires louches. Je reste à Sunnydale pour éclaircir ce mystère car je sens que la vérité risque d'éclater.